Genève est souvent présentée comme un lieu privilégié de « construction de la paix ». On peut évoquer le CICR, la SdN, voire des conférences ou des congrès universels visant à écarter le spectre de la guerre. Mais y a-t-il une spécificité genevoise dans ce domaine? Sinon, pourquoi cette image s’est-elle construite? Si oui, pourquoi, depuis quand et selon quels mécanismes?
Irène Herrmann, Matthieu Leimgruber, Grégory Meyer, Daniel Warner
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