Si Hannah Arendt a pu soutenir que la rhétorique était la fin de la violence, il s’en faut de beaucoup que la littérature soit la paix: elle se nourrit de la guerre, la met en scène, la raconte, la combat. Aussi tentera-t-on d’étudier, loin de tout désir de synthèse, des configurations singulières où la littérature se met en guerre et la guerre en littérature, sans oublier que Guerre et paix est aussi un titre de roman.
Laurent Jenny, Isabelle Pitteloud, Martin Rueff, Frédéric Tinguely
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